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Une prise de conscience collective est obligatoire

Le 02 avril 2018 — Modifié à 14 h 00 min le 02 avril 2018
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Une prise de conscience collective est obligatoire

Pour la coordonnatrice en sécurité alimentaire, Mélanie Girard, il sera impossible de radier l’insécurité alimentaire, tant que les gouvernements ne s’activeront pas.

«Tant que le chèque de l’aide social avoisinera les 600 $ et que le salaire horaire minimum sera de 12 $, eh bien, les gens vivront dans l’insécurité monétaire, qui aura des impacts sur leur alimentation.»

Sensibiliser

«Des membres de notre équipe, qui proviennent de l’international, nous ont ouvert les yeux sur cette problématique invisible. On s’est donc questionné sur ce que nous pourrions faire pour améliorer la situation», explique William Verreault, finissant en technique de comptabilité et gestion, au Cégep de Saint-Félicien.

Pour sensibiliser les gens à cette situation, un premier événement sera réalisé par les étudiants.

Le dimanche 25 mars, un brunch avait lieu. L’objectif de cet événement était de développer une enveloppe budgétaire pour créer des projets, sensibiliser les gens, créer du réseautage, mais aussi permettre à des gens de partager leurs expériences.

«En réunissant tous ces éléments, nous espérons, changer la situation. C’est un premier pas vers une prise de conscience collective.»

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