Saint-Félicien – La Ville de Saint-Félicien rafraichit son image pour mieux représenter sa réalité et pour être plus attractive auprès de sa population, ses futurs citoyens, les touristes et les entreprises.
« Depuis longtemps, le terme « naturellement » est employé pour nous distinguer. Par contre, il fallait se mettre au goût du jour et changer notre image pour mieux refléter notre réalité », a exprimé le maire, Luc Gibbons.
Le logo de la municipalité a été modernisé. Quatre axes de communication ont été ajoutés, soit sportive, dynamique, accueillante et savoureuse.
« L’objectif de cette campagne est de rayonner sur la scène locale, régionale et provinciale, de créer un sentiment d’appartenance fort de la part de la population et des employés municipaux et d’augmenter le sentiment de fierté et la mobilisation. »
Cette nouvelle image de marque va se traduire dans toutes les communications de la ville. La papeterie, le site internet, les bâtiments et les camions de la localité seront touchés.
Cette transition se fera par étape tout en respectant le budget annuel de communication.
Plus de dynamisme
Pour la Ville, il était important de mettre en valeur les forces de la localité. « Avec notre belle rivière qui traverse la ville, le cégep, le Zoo sauvage et Tobo-Ski, la nature et les grands espaces nous démarquent, il faut le faire valoir », ajoute Luc Gibbons.
Avec les différentes infrastructures et les athlètes qui se démarquent, Saint-Félicien se dit sportive.
Les événements, festivals, maisons d’enseignement et projets de développement soulignent son dynamisme. Et l’aspect accueillant se reflète dans la gentillesse de la population, la qualité de vie et les sites touristiques. Finalement, la place importante de l’agroalimentaire en fait une ville savoureuse.
Pour ce qui est du logo, il a été retravaillé pour le moderniser. « Le bleu et le vert symbolisent la fusion entre la forêt, la nature, l’agriculture, l’eau et la rivière.
Les extrémités arrondies et les courbes donnent un aspect jeune, accueillant et positif à notre Ville », conclut le magistrat.