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Le Colloque de 4e secondaire de la Cité étudiante de Roberval a une fois de plus permis aux étudiants d’avoir une journée des plus enrichissantes. En plus de donner la chance aux élèves d’assister à des ateliers diversifiés, ils ont pu passer du temps avec le comédien Widemir Normil.
Pour une première fois, le comédien s’arrêtait au Lac-Saint-Jean : « J’ai déjà passé dans le coin, mais je ne m’y suis jamais arrêté. Alors, ça me fait extrêmement plaisir de venir ici aujourd’hui faire une conférence sur l’estime de soi et le rêve. J’ai commencé à faire cette conférence, il y a sept ans, et je rêvais de pouvoir y consacrer plus de temps. Dès que j’ai vu qu’une accalmie se pointait au niveau du travail, j’ai fait des envois à toutes les écoles secondaires de Québec, du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Montérégie. C’est définitivement dans ces régions que j’ai eu une réponse rapide. Je suis extrêmement touché d’être ici et de pouvoir participer à cette journée avec les jeunes », mentionne Widemir Normil.
Le comité organisateur composé de cinq étudiants a sélectionné huit ateliers dont les sujets suscitaient un intérêt chez les jeunes. Au programme, on retrouvait phénomènes hypnotiques, policier patrouilleur/enquêteur, art culinaire, sport et persévérance, musique, animation radiophonique, droit et cuisine. Tous les étudiants de 4e secondaire étaient invités à choisir trois ateliers, soit deux en avant-midi et l’un en après-midi, pour finalement tous assister à la conférence Widemir Normil en fin de journée. Cette conférence de 70 minutes touche l’estime de soi, la persévérance scolaire, l’art de cultiver ses rêves sans détruire ceux des autres.
Pour le comédien, de « L’Auberge du chien noir » et de « 30 vies », faire des conférences auprès des jeunes était inscrit dans sa mission de vie : « Ce colloque rejoint parfaitement l’essence de mon discours. Les intervenants ont tous des étoiles dans les yeux quand ils parlent de leur métier. Ils souhaitent susciter l’intérêt des jeunes afin de trouver des adeptes. Il est essentiel de mettre le feu aux jeunes. Ils devront faire des choix bientôt », souligne M. Normil.
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