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L’équipe de Jacques Taillon défendra les couleurs du Québec en curling

Le 22 mars 2019 — Modifié à 14 h 26 min le 22 mars 2019
Par Denis Hudon

L’équipe du capitaine Jacques Taillon des clubs de Roberval-Saint-Félicien représentera non seulement le Saguenay-Lac-Saint-Jean, mais tout le Québec au prochain Championnat canadien de curling qui se tiendra en Saskatchewan, du 1er au 7 avril.

Encore tout un exploit pour cette équipe composée aussi de Jean Lamothe, Michel Gaudreault et Roch Larouche qui vient de remporter la finale du Championnat provincial masculin des Maîtres (60 ans et plus) contre l’équipe de Christian Crête. Une victoire de 5 à 1.

Fait à noter, l’équipe Crête avait fait subir la seule défaite dans ce parcours à l’équipe Taillon qui a pu savourer sa revanche lors du match décisif.

On retrouvait 16 équipes qualifiées sur 36 au Québec pour ce championnat. Le secteur était représenté par deux équipes de Dolbeau-Mistassini, une de Roberval et une autre de Saint-Félicien.

C’est la cinquième fois que l’équipe Taillon se qualifie pour le provincial et ce sera sa deuxième qualification au Championnat canadien, la première remontant à 2016.

La crème de la crème

Déjà de pouvoir représenter le Québec au Championnat canadien est tout un exploit. Jean Lemieux et Jacques Taillon en savent quelque chose. Ils étaient tous deux de l’aventure de 2016, en Nouvelle-Écosse, avec Fernand Rondeau et André Martel.

« Le curling est très populaire au Canada anglais. Ils ont des équipes de très haut niveau avec souvent plusieurs titres à leur actif. Ce sera encore très fort dans l’Ouest canadien et on fera tout pour se rendre le plus loin possible », dit Jean Lemieux, au lendemain de la victoire au provincial.

« Déjà, se qualifier au championnat canadien est quelque chose. Si on peut faire aussi bien qu’en 2016, où nous avions eu une fiche de cinq victoires contre deux défaites seulement, on sera très heureux. Nous étions à une partie près du carré d’as pour accéder à la demi-finale. On veut toujours faire mieux que la fois précédente, mais considérant le haut calibre qui se retrouvera encore là-bas, tout ce qu’on peut faire, c’est tout donner », conclut Jean Lemieux.

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