Sports

Temps de lecture : 1 min 42 s

L’équipe de la Polyvalente des Quatre-Vents d’attaque pour La Course

Le 22 mai 2014 — Modifié à 00 h 00 min le 22 mai 2014
Par

Quelque 28 élèves de la Polyvalente des Quatre-Vents de Saint-Félicien prendront le départ de La Course du Grand Défi Pierre Lavoie les 24 et 25 mai prochain. Toutes les raisons sont bonnes pour participer à l’aventure, mais chose certaine, il faut aimer les défis.

C’est d’ailleurs ce qui motive Francis Perreault, Guillaume Fortin et Léa Morin-Bergeron, trois étudiants de la Polyvalente des Quatre-Vents qui seront sur la ligne de départ. « Je suis un mordu de sport et de course. Je fais du ski de fond l’hiver et de la course l’été », précise Francis Perreault, qui en sera à sa 2e participation à La Course.

Guillaume Fortin, pour sa part, en sera à sa troisième participation en autant d’années. « Pour moi, c’est surtout le défi qui me stimule. Courir sans un objectif ne m’intéresse pas vraiment, c’est pour le défi et l’ambiance que j’y vais », explique-t-il.

Quant à Léa Morin-Bergeron, elle prend part à l’aventure de façon inattendue. « Au départ je participais aux entraînements juste pour le plaisir, je ne pensais pas faire le défi », relate-t-elle, précisant qu’elle a toutefois toujours été plutôt active physiquement.

Des jeunes actifs

D’ailleurs, le groupe de 28 élèves de cette année est formé de jeunes qui bougent déjà beaucoup. « On a une bonne équipe cette année. L’année dernière on avait quelques personnes qui étaient sédentaires et ça a été un peu plus dur. Par contre, il y en a qui ont découvert qu’ils avaient des aptitudes pour la course et qui sont devenus de bons coureurs », souligne Francis Perreault, qui agit également comme adjoint à l’entraîneur lors des entraînements.

Outre la course en elle-même, qui représente un 270 km à relais, les coureurs devront gérer leur sommeil et leur alimentation. Ils devront choisir quand manger et dormir à travers le périple qui leur demandera de courir 2 km toutes les 2 heures.

« Le sommeil et la bouffe sont à faire attention. Même si tu n’as pas faim, c’est important de manger. Il faut penser à faire ce qu’il faut pour terminer le défi », rappelle Francis Perreault.

Certains participants ne trouveront pas le sommeil pendant les quelque 36 heures que durera le défi. « C’est la partie qui me fait un peu peur, de ne pas dormir pendant 36 heures », concède Léa, dont ce sera la première participation.

Chose certaine, dans ces circonstances, le défi sera tout autant physique que mental.

Abonnez-vous à nos infolettres

CONSULTEZ NOS ARCHIVES