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On désire recruter 11 pompiers à temps partiel

Jean Tremblay
Le 03 avril 2023 — Modifié à 09 h 54 min le 03 avril 2023
Par Jean Tremblay - Journaliste

Dans le secteur desservi par le Service de sécurité incendie de Saint-Félicien / Saint-Prime / La Doré on désire, d’ici la mi-mai, embaucher 11 pompiers à temps partiel pour combler les postes vacants et ceux qui le deviendront à la suite de départs à la retraite.

Présentement, le Service compte 56 pompiers répartis sur l’ensemble du territoire.

« La dernière fois qu’on a embauché des pompiers date de 2019. Actuellement, à Saint-Félicien, il y en a 21, Saint-Méthode en compte 10, Saint-Prime 11 et 14 à La Doré », explique Olivier de Launière, directeur du Service.

« On aimerait en ajouter six à Saint-Félicien, un à La Doré, deux à Saint-Prime et deux dans le secteur Saint-Méthode. Dès leur arrivée, nous allons leur donner une formation de base pour être en mesure d’intervenir rapidement. »

Formation sur deux ans

Les futurs pompiers devront par la suite s’inscrire à une formation de 300 heures réparties sur deux années. Les cours seront étalés à partir de l’automne 2023 jusqu’en juin 2025.

L’horaire de formation tiendra compte des disponibilités des pompiers en lien avec leur emploi principal.

Exigences pour devenir pompier

Quelques critères sont requis pour suivre la formation de pompier. Il faut démontrer une bonne forme physique. Le candidat doit être âgé de 18 ans et plus, détenir un permis de conduire de classe 5 minimalement et faire preuve d’une certaine disponibilité pour répondre aux appels d’urgences.

De plus, le futur pompier se doit d’être disponible pour les inspections de véhicules, les entrainements et les réunions. Finalement, il faut avoir « pattes blanches » en obtenant un certificat de bonne conduite délivré par un corps policier.

« Les pompiers sont au service de la population pour protéger le territoire et notre force vient du nombre. On retrouve beaucoup d’entraide parmi les pompiers. Lors d’un sinistre, chacun fait partie de l’intervention », conclut Olivier de Launière.

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