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Une passionnée de math à Paris

Le 26 septembre 2017 — Modifié à 00 h 00 min le 26 septembre 2017
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Avez-vous déjà entendu parler du Championnat international des jeux mathématiques et logiques? Cette année, 20 000 Québécois ont pris part au quart de finale et seulement huit participants ont accédé à la grande finale, qui avait lieu à Paris à la fin août. C’est le cas de Mireille Allard, native de Saint-Prime.

«C’est un concours qui se veut ludique et accessible à tout le monde: les questions sont courtes et simples et la logique et les mathématiques sont de mise pour trouver la réponse», explique Mireille Allard.

Avant d’accéder à la finale internationale du championnat, les participants doivent se classer au quart, à la demi-finale et finalement à la finale québécoise.

«La forme du concours est la même, mais la difficulté augmente au fil des étapes. Les meilleurs de chaque catégorie sont invités à une remise de prix et parmi eux, ceux et celles qui ont obtenu les meilleurs résultats, forment la délégation qui représente le Québec à la finale internationale du concours».

Le groupe de Québécois a ainsi séjourné une semaine à Paris. En plus du concours, qui s’étalait sur une période de deux jours, les jeunes et leurs accompagnateurs ont pu visiter la ville.

«C’était un voyage fort agréable et la complicité de la délégation se faisait particulièrement sentir lors des soupers, qui nous permettaient de nous reposer et de décompresser, après nos longues journées», mentionne la jeune femme.

La délégation québécoise s’est démarquée, lors du championnat, qui accueillait 200 participants, en provenance de 12 pays principalement européens.

Mireille s’est classée au 8e rang sur 22 participants, de la catégorie Grand Public. En tout, quatre membres de la délégation québécoise se sont hissés dans le top 10 de leur catégorie.

Passion

Bien que les chiffres aient peu de secrets pour Mireille, la jeune femme ne s’est pas dirigée vers ce domaine. Elle commence plutôt, cette année, des études en travail social, à l’Université du Québec à Montréal.

«J’ai toujours aimé les maths et tout ce qui est logique. Je me suis toutefois découvert une nouvelle passion pour la justice sociale et le militantisme, durant mes études au cégep de Saint-Félicien.»

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