Actualités

Temps de lecture : 1 min 31 s

Toute une expérience pour Victor Verreault

Louis Potvin
Le 08 novembre 2019 — Modifié à 11 h 18 min le 08 novembre 2019
Par Louis Potvin - Rédacteur en chef

Victor Verreault a vécu une expérience très enrichissante en participant à une compétition de descente urbaine au cœur de la ville de Santa Margherita en Italie.

Cette dernière étape de la Coupe d’Italie était organisée par la Mahikan race, qui a déjà tenu des courses de vélo dodu (fatbike) à Roberval dans le passé.

« J’avais terminé deuxième à la course de fatbike de Roberval en 2017 et les organisateurs m’avaient invité à aller à une course en Europe. Comme j’ai été malade, j’avais dû retarder. Les organisateurs m’ont invité pour celle-ci et j’ai accepté. C’était vraiment spécial comme feeling et comme parcours », relate le cycliste de Saint-Félicien.

Il a séjourné une semaine en Italie. Les organiseurs ont payé les frais du voyage, à part le billet d’avion.

Victor a pu découvrir une partie de ce pays où il se rendait pour la première fois.

Bon résultat

Même s’il n’était pas familier avec ce type d’épreuve, qui consiste en une descente en milieu urbain dans un parcours dessiné à travers la ville et franchissant des obstacles comme des escaliers, Victor s’est bien débrouillé en terminant 5e sur une centaine de participants.

Le meilleur a complété les 2,5 km de descente en 3 minutes et 5 secondes et Victor a terminé 9 secondes derrière.

« Mon expérience en enduro ici dans la région m’a aidé. C’était très technique et surtout rapide alors qu’on passait dans des secteurs très étroits où l’on frôle des murs de pierre. L’arrivée était grandiose. Nous arrivions sur le bord de mer. »

Le cycliste de 20 ans était le seul représentant du Canada. Victor Verreault avait déjà participé à des courses de vélo de montagne en République tchèque et en Allemagne, mais n’avait jamais roulé dans ce type d’épreuve un peu folle.

Il ne ferme pas la porte à d’autres participations, s’il reçoit des invitations.

Entrainement

Même si le volet enduro l’allume passablement, il poursuit son entrainement pour tenter d’améliorer son classement au niveau canadien en vélo de montagne. Rappelons qu’il est vice-champion québécois en 2019.

Pour l’heure, il a ralenti la cadence pour le repos annuel. Il devrait recommencer bientôt avec de la musculation et des séances de base d’entraînement avant d’enfourcher son vélo dodu et peut-être participer à des camps à la chaleur.

Abonnez-vous à nos infolettres

CONSULTEZ NOS ARCHIVES