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Boutique Normand Tanguay – Un repositionnement réussit : «J'ai fait de mes clients des amis»

Le 12 novembre 2020 — Modifié à 09 h 04 min le 12 novembre 2020
Par Diane Lemieux

PUBLIREPORTAGE–

Pour Éric ­Tanguay, propriétaire de la ­Boutique ­Normand ­Tanguay, il ne fait aucun doute quant à sa décision, il y a trois ans, de relo­caliser ses trois boutiques dans une seule bâtisse située sur le boulevard ­Hamel à ­Saint-Félicien.

En 2016, le premier bail des trois boutiques venait à échéance, celui situé au le ­Carrefour ­Jeannois à ­Roberval. « À l’époque,

je réfléchissais sur l’avenir de mes points de vente. Je constatais que l’achalandage des centres commerciaux baissait. Ma clientèle cible était de moins en moins au ­rendez-vous », explique Éric ­Tanguay. « ­Dans les centres commerciaux, les clients d’un magasin deviennent des clients de l’autre. Ce n’était plus le cas », ajoute l’homme d’affaires.

Éric ­Tanguay constatait que le coût des trois baux commençait à peser lourd sur les charges fixes de ses magasins. « ­Le manque de personnel m’a également aidé à prendre une décision. Je ne pouvais être aux trois places en même temps. Après la fermeture du commerce à ­Roberval j’ai décidé de recentrer mes opérations. »

Décision rapide

Lorsque le second bail, celui de ­Saint-Félicien

est venu à échéance, la décision fut rapide. « ­Un dimanche, en me rendant à l’écocentre de ­Saint-Félicien j’ai vu une pancarte « à vendre » sur une bâtisse construite sur le boulevard ­Hamel. Le même jour je l’ai visité et deux jours plus tard j’ai signé une offre d’achat. »

Lorsque le bail à ­Dolbeau-Mistassini est venu à échéance, la ­Boutique ­Normand ­Tanguay n’a pas renouvelé son espace de location.

Un choix judicieux

Le 19 octobre 2020, jour de sa fête, Éric ­Tanguay a souligné le début de la quatrième année d’opérations à la nouvelle adresse. « ­Déménager ici fut l’un des plus grands succès de l’entreprise. J’ai revu des clients de longue date. Lorsqu’ils entrent ici, ils ont un besoin à combler. Souvent lorsqu’un homme entrait dans l’un de mes magasins dans les centres commerciaux c’était sa femme qui l’obligeait à le faire. »

« ­La dynamique est vraiment différente. En prime mes clients sont devenus mes amis. Je me suis intéressé à leur vie sociale et à leur famille. Le moyen de contrer l’achat sur le ­Web c’est de fidéliser mes clients. Je leur propose une expérience « magasinage » agréable. »

« J’invite la population à faire la différence en cette année exceptionnellement instable en encourageant les commerces locaux. Faites vos achats pour les ­Fêtes ici aident vos commerçants locaux à traverser cette crise et nous en sortirons plus fort et plus unis tous ensembles », conclut Éric ­Tanguay.

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