Vendredi, 10 octobre 2025

Économie

Temps de lecture : 1 min 13 s

Pourquoi avoir choisi Saint-Félicien pour investir ?

Jean Tremblay
Le 09 octobre 2025 — Modifié à 10 h 35 min le 09 octobre 2025
Par Jean Tremblay - Journaliste

Le promoteur précise avoir un attachement pour Saint-Félicien par les liens familiaux de sa conjointe dans le secteur. « Ma conjointe vient de Saint-Félicien. Sa mère y demeure encore de même que des cousins et cousines. Je viens y faire un tour, presque tous les mois », précise Marc-Antoine Paré.

C’est en novembre 2024 qu’il a eu l’idée d’investir à Saint-Félicien. Il avait constaté, à l’époque, le manque de logements dans le secteur. « Il n’y avait rien à louer. J’ai consulté un oncle de ma conjointe qui m’a confirmé cette problématique. Il m’a présenté au maire Luc Gibbons et à l’équipe du directeur général de l’époque, Dany Coudé. Nous avons eu une rencontre, en janvier dernier, sur Teams. Je leur ai demandé quels étaient les besoins en matière de logements. Ils m’ont répondu qu’il manquait énormément de logements de 5 ½ pièces. »

Associé de Montréal

Par la suite il en a parlé à son associé de Montréal, qui évolue dans l’immobilier et avec qui il discute d’affaires depuis neuf années. « Il m’a dit qu’il trouvait intéressant le projet d’investir à Saint-Félicien. La Ville m’a suggéré trois terrains incluant celui de l’ex-maire Alfred Hamel, dont le mandat de vendre avait été donné à un agent immobilier. Nous l’avons acheté de Philippe Brochu. Il l’avait acquis de Frédéric Beaudoin, qui, lui s’en était porté acquéreur de la succession de l’épouse d’Alfred Hamel », précise l’homme d’affaires.

Les négociations pour en devenir propriétaire ont eu lieu de janvier à août derniers. « Le contrat a été signé chez le notaire le 14 août. Entretemps nous avons présenté à la Ville le plan d’implantation qui fut accepté par le Service d’urbanisme.

Finalement, le 1er octobre, le conseil municipal a accepté, par résolution, notre projet. »

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