PUBLIREPORTAGE–
Même avec un effectif réduit le personnel de Renomax à Roberval, Saint-Félicien et Dolbeau-Mistassini a su répondre adéquatement à la forte demande des derniers mois. Une période exceptionnelle dans un contexte particulier et un défi entrepreneurial exceptionnel.
Les dirigeants de Renomax vivent avec un exercice quotidien, celui de suffire à la demande. « La demande est tellement forte que nous n’avons même pas le temps de remplir nos tablettes. La pandémie est un heureux problème et nous confronte à certaines difficultés opérationnelles. »
C’est un défi de tous les jours pour Anick Rousseau, directrice générale et propriétaire des Rénomax. À tel point que tous projets d’agrandissement ne reposent pas sur les concepts habituels de rentabilité, d’études de marché et autres, mais plutôt sur la main-d’œuvre disponible. « On ne sait même pas qui pourrait opérer un éventuel projet d’agrandissement. Nos quincailleries de Saint-Félicien et Mistassini auraient besoin d’une cure de rajeunissement, mais on n’a aucune garantie qu’on aurait le personnel requis pour aller de l’avant avec ces projets », affirme la directrice générale propriétaire.
« Il y a quelques années on ne se posait pas cette question. Mais aujourd’hui, c’est la nouvelle réalité. On doit composer avec un défi de main-d’œuvre. »
Services de qualité
Chez Renomax on se concentre principalement sur les défis de qualité de service auprès de la clientèle. « Avec la COVID-19 le client est devenu patient. Cela a vraiment changé au cours de la dernière année. Les clients se font dire partout qu’il y a des bris d’inventaire. Une nouvelle réalité qu’a acceptée le consommateur. »
« Nous travaillons à l’amélioration de notre approvisionnement en essayant de prévoir à plus long terme. Avec la fin des programmes d’aide du gouvernement fédéral pour les personnes qui ne trouvent (ou ne cherchent) pas d’emploi, nous pensons qu’une partie de la main-d’œuvre va revenir sur le marché. »
Les clients au rendez-vous
« Nous sommes dans le domaine depuis près de 50 ans et l’année 2020 a été une année exceptionnelle. Nous avons eu le privilège de ne jamais arrêter de travailler et nous en sommes très heureux. À Roberval, le nouveau magasin est ouvert depuis cinq ans et on dirait que la population se l’est vraiment approprié cette année », ajoute Anick Rousseau.
Puisque les gens étaient restreints dans leurs choix d’activités pour leurs vacances, notre secteur d’activités, comme d’autres au Québec a connu une augmentation de son achalandage.
« De plus, nous avons observé l’arrivée d’une nouvelle clientèle de villégiature que nous avons eu le privilège de servir tout au long de l’été. Des gens du Saguenay et de partout ailleurs au Québec. Nous sommes conscients que l’année 2021 va nous emmener son lot de surprise. Mon équipe et moi sommes prêts à relever le défi, comme mes parents l’ont toujours fait depuis 48 ans », conclut-elle.