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RENOMAX en forte croissance – «Le défi de la main-d'oeuvre c'est le défi de l'avenir»

Le 12 novembre 2020 — Modifié à 08 h 53 min le 12 novembre 2020
Par Diane Lemieux

PUBLIREPORTAGE–

Même avec un effectif réduit le personnel de ­Renomax à ­Roberval, ­Saint-Félicien et ­Dolbeau-Mistassini a su répondre adéquatement à la forte demande des derniers mois. Une période exceptionnelle dans un contexte particulier et un défi entrepreneurial exceptionnel.

Les dirigeants de ­Renomax vivent avec un exercice quotidien, celui de suffire à la demande. « ­La demande est tellement forte que nous n’avons même pas le temps de remplir nos tablettes. La pandémie est un heureux problème et nous confronte à certaines difficultés opérationnelles. »

C’est un défi de tous les jours pour ­Anick ­Rousseau, directrice générale et propriétaire des ­Rénomax. À tel point que tous projets d’agrandissement ne reposent pas sur les concepts habituels de rentabilité, d’études de marché et autres, mais plutôt sur la ­main-d’œuvre disponible. « ­On ne sait même pas qui pourrait opérer un éventuel projet d’agrandissement. Nos quincailleries de ­Saint-Félicien et ­Mistassini auraient besoin d’une cure de rajeunissement, mais on n’a aucune garantie qu’on aurait le personnel requis pour aller de l’avant avec ces projets », affirme la directrice générale propriétaire.

« ­Il y a quelques années on ne se posait pas cette question. Mais aujourd’hui, c’est la nouvelle réalité. On doit composer avec un défi de ­main-d’œuvre. »

Services de qualité

Chez ­Renomax on se concentre principalement sur les défis de qualité de service auprès de la clientèle. « ­Avec la ­COVID-19 le client est devenu patient. Cela a vraiment changé au cours de la dernière année. Les clients se font dire partout qu’il y a des bris d’inventaire. Une nouvelle réalité qu’a acceptée le consommateur. »

« ­Nous travaillons à l’amélioration de notre approvisionnement en essayant de prévoir à plus long terme. Avec la fin des programmes d’aide du gouvernement fédéral pour les personnes qui ne trouvent (ou ne cherchent) pas d’emploi, nous pensons qu’une partie de la ­main-d’œuvre va revenir sur le marché. »

Les clients au ­rendez-vous

« ­Nous sommes dans le domaine depuis près de 50 ans et l’année 2020 a été une année exceptionnelle. Nous avons eu le privilège de ne jamais arrêter de travailler et nous en sommes très heureux. À ­Roberval, le nouveau magasin est ouvert depuis cinq ans et on dirait que la population se l’est vraiment approprié cette année », ajoute ­Anick ­Rousseau.

Puisque les gens étaient restreints dans leurs choix d’activités pour leurs vacances, notre secteur d’activités, comme d’autres au ­Québec a connu une augmentation de son achalandage.

« ­De plus, nous avons observé l’arrivée d’une nouvelle clientèle de villégiature que nous avons eu le privilège de servir tout au long de l’été. Des gens du ­Saguenay et de partout ailleurs au ­Québec. Nous sommes conscients que l’année 2021 va nous emmener son lot de surprise. Mon équipe et moi sommes prêts à relever le défi, comme mes parents l’ont toujours fait depuis 48 ans », ­conclut-elle.

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