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Mairie de Roberval

Jean-François Boily propose une nouvelle alternative

Jean Tremblay
Le 12 octobre 2025 — Modifié à 12 h 00 min le 12 octobre 2025
Par Jean Tremblay - Journaliste

Jean-François Boily, qui exploitait le commerce au détail la TiteFrette de Roberval, fermé il y a quelques jours, se présente à la mairie de Roberval.

Père de trois enfants de 8, 10 et 12 ans, le candidat âgé de 44 ans entend proposer aux Robervalois une nouvelle alternative pour diriger les destinées de la municipalité, pour les quatre prochaines années.

Les électeurs auront donc le choix, aux prochaines élections provinciales du 2 novembre, entre le maire sortant Serge Bergeron et Jean-François Boily.

« Ça fait longtemps que je m’intéresse à la politique. En 2003, j’ai déjà travaillé pour Karl Blackburn. Ma conjointe et moi en avons discuté durant l’été et, de plus, mes enfants sont maintenant plus grands. Mon commerce étant fermé, il devient donc possible de me présenter à ce poste », explique le candidat à la mairie.

Campagne sur trois axes

Il désire, avant tout, se présenter avec une vision différente du maire actuel. « Je veux apporter un certain dynamisme et amener les jeunes à s’intéresser à la politique. Je trouve dommage que, depuis plusieurs années, la politique divise beaucoup les gens. La politique municipale demeure le premier palier pour s’adresser aux citoyens. »

Il mènera sa campagne sur trois axes : relancer et diversifier l’économie locale en appuyant les commerces et les entrepreneurs. « Mon objectif quant à cet axe consiste à attirer de nouveaux investisseurs pour créer des emplois de qualité à Roberval. »

Deuxièmement, il désire améliorer la qualité de vie des citoyens en investissant dans les infrastructures municipales et dans les installations sportives. « En étant un ex-enseignant en éducation physique, j’aimerais faire bouger davantage les citoyens. »

Finalement, comme troisième axe, le candidat à la mairie désire préserver et mettre en valeur l’environnement et le patrimoine de Roberval. « Je trouve que le fait de se trouver au bord du lac Saint-Jean est sous-développé. De plus, il faut valoriser notre culture et notre histoire pour que les gens retrouvent leur fierté d’être un Robervalois », conclut celui qui, de plus, a déjà occupé les fonctions de directeur d’école.

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