Vendredi, 05 septembre 2025

Économie

Temps de lecture : 2 min 18 s

Projet au stade exploratoire

Pour Maxi, Saint-Félicien représente un marché potentiel "intéressant" mais...

Jean Tremblay
Le 03 septembre 2025 — Modifié à 12 h 02 min le 03 septembre 2025
Par Jean Tremblay - Journaliste

« Saint-Félicien est un marché qui présente un potentiel très intéressant pour Maxi. Comme dans plusieurs autres municipalités au Québec, on explore divers scénarios de développement et on discute avec des acteurs locaux, dont la municipalité de Saint-Félicien, pour mieux cerner les besoins des consommateurs », affirme Patrick Blanchette, vice-président de Maxi, en réaction à la nouvelle publiée la semaine dernière dans l’Étoile du Lac.

« On reste très attentifs aux opportunités qui pourraient nous permettre de rejoindre encore plus de familles avec notre offre d’épicerie à bas prix », poursuit-il.

L’article publié la semaine dernière rapportait que le maire de Saint-Félicien, Luc Gibbons, avait eu des discussions téléphoniques avec des représentants de Loblaw, propriétaire de la bannière Maxi, depuis le début de l’année 2025.

« De plus, dans les prochains jours, j’aurai une rencontre par Zoom avec le gestionnaire des affaires publiques de Loblaw », avait alors fait savoir l’élu de Saint-Félicien.

Un modèle déjà éprouvé dans les petites municipalités

Lorsqu’un Maxi s’implante dans une ville de plus petite taille, le scénario le plus fréquent repose sur l’intervention d’un promoteur immobilier. Celui-ci acquiert le terrain, prend en charge la construction de l’immeuble dont il devient propriétaire. Loblaw, pour sa part, signe un bail commercial à long terme, généralement de 15 à 20 ans, parfois davantage.

Ce modèle procure au promoteur une stabilité locative, tandis que Loblaw assure sa présence dans la municipalité sans avoir à mobiliser d’importants capitaux dans l’immobilier.

Une fois l’édifice livré sous forme de « coquille », Loblaw investit dans l’aménagement intérieur: rayonnages, caisses, réfrigérateurs et entrepôts. Ces installations demeurent sa propriété. L’inventaire appartient également à Loblaw, qui alimente ses magasins par l’entremise de ses centres de distribution.

:« Saint-Félicien est un marché qui présente un potentiel très intéressant pour Maxi. Comme dans plusieurs autres municipalités au Québec, on explore divers scénarios de développement et on discute avec des acteurs locaux, dont la municipalité de Saint-Félicien, pour mieux cerner les besoins des consommateurs », affirme Patrick Blanchette, vice-président de Maxi, en réaction à la nouvelle publiée la semaine dernière dans l’Étoile du Lac.

« On reste très attentifs aux opportunités qui pourraient nous permettre de rejoindre encore plus de familles avec notre offre d’épicerie à bas prix », poursuit-il.

L’article publié la semaine dernière rapportait que le maire de Saint-Félicien, Luc Gibbons, avait eu des discussions téléphoniques avec des représentants de Loblaw, propriétaire de la bannière Maxi, depuis le début de l’année 2025.

« De plus, dans les prochains jours, j’aurai une rencontre par Zoom avec le gestionnaire des affaires publiques de Loblaw », avait alors fait savoir l’élu de Saint-Félicien.

Un modèle déjà éprouvé dans les petites municipalités

Lorsqu’un Maxi s’implante dans une ville de plus petite taille, le scénario le plus fréquent repose sur l’intervention d’un promoteur immobilier. Celui-ci acquiert le terrain, prend en charge la construction de l’immeuble dont il devient propriétaire. Loblaw, pour sa part, signe un bail commercial à long terme, généralement de 15 à 20 ans, parfois davantage.

Ce modèle procure au promoteur une stabilité locative, tandis que Loblaw assure sa présence dans la municipalité sans avoir à mobiliser d’importants capitaux dans l’immobilier.

Une fois l’édifice livré sous forme de « coquille », Loblaw investit dans l’aménagement intérieur: rayonnages, caisses, réfrigérateurs et entrepôts. Ces installations demeurent sa propriété. L’inventaire appartient également à Loblaw, qui alimente ses magasins par l’entremise de ses centres de distribution.

 

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