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Depuis octobre 2023

Le sergent Nicolas Mailloux à la tête de l’unité de la SQ à Saint-Félicien

Jean Tremblay
Le 13 avril 2024 — Modifié à 13 h 46 min le 13 avril 2024
Par Jean Tremblay - Journaliste

En poste depuis octobre 2023 comme responsable d’unité de la SQ à Saint-Félicien, le sergent Nicolas Mailloux cumule plus de 23 ans d’expérience dans le domaine policier.

Depuis son intégration au Service de police de la Ville de La Tuque, en 2002 à la Sûreté du Québec, le sergent Mailloux a occupé différentes fonctions. Il a pu agir comme patrouilleur assigné aux unités de Chapais-Chibougamau et de Domaine-du-Roy.

En 2018, il a accédé au grade de sergent après avoir occupé la fonction de superviseur de relève de façon intérimaire pendant plusieurs années.

Nicolas Mailloux est natif de Jonquière. Il a toutefois passé une partie de sa vie à Roberval.

« Sa vaste expérience au sein des unités de Domaine-du-Roy ajoute une plus-value à l’équipe de gestion du Centre de services de Roberval. Ayant occupé différents postes de gestionnaire lors de ses passages dans ces unités, il saura mettre à profit ses compétences, son expérience ainsi que son expertise auprès des membres de son unité », a expliqué le sergent Hugues Beaulieu, agent d’information à la SQ.

« Il entend mettre tout en œuvre de manière à donner, en collaboration avec les partenaires de la Sûreté du Québec et à l’aide des membres de son unité, un service de qualité aux citoyens afin que ceux-ci se sentent en sécurité », ajoute-t-il.

Priorités du sergent

Le sergent Mailloux priorise la prévention et l’éducation auprès des jeunes afin d’augmenter le sentiment de sécurité des citoyens.

« Saint-Félicien étant une ville étudiante par la présence d’écoles primaires, d’une école secondaire et du Cégep, le sergent Mailloux met en priorité la présence policière aux abords des secteurs scolaires et des lieux de rassemblement des jeunes. »

En collaboration avec les différents services de la Sûreté du Québec, le sergent Mailloux redoublera d’efforts en matière de lutte aux stupéfiants.

« Il entend mettre en place différentes stratégies à l’aide du personnel sous sa responsabilité », poursuit Hugues Beaulieu.

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